Dans cette musique écrite sur le texte du Psaume 51, c’est bien le Stabat Mater de Pergolèse que Bach parodie. Les similitudes sont nombreuses, mais Bach épure la ligne vocale pour épouser davantage les paroles de sa version luthérienne. Les voix de Céline Scheen et de Damien Guillon se marient à merveille dans cette œuvre au caractère introspectif. Mais Pergolèse se retrouvera également dans ce concert, avec un Salve Regina où l’on retrouve les accents bien italiens du compositeur napolitain.
In this music set to the text of Psalm 51, it is indeed Pergolesi’s Stabat Mater which Bach parodies. There are many similarities, but Bach pares down the vocal line to espouse all the more the lyrics of his Lutheran version. The voices of Céline Scheen and Damien Guillon combine marvellously in this introspective work. But Vivaldi will also feature in this concert, with a moving motet.
Programme
Antonio Vivaldi, Motet Filiae maestrae Jerusalem RV638
Johann Sebastian Bach, Motet Tilge, Höchster, meine Sünden (arr. du Stabat Mater de Pergolesi pour le psaume 51) pour soprano, alto, cordes et basse continue BWV1083
Program
Antonio Vivaldi, Motet ‘Filiae maestae Jerusalem’ RV638
Johann Sebastian Bach, Motet ‘Tilge, Höchster, meine Sünden’ (arr. of Pergolesi’s Stabat Mater for Psalm 51) for soprano, viola, string instruments and basso continuo BWV1083
